8 juin 2014

Attends... je t'ai pas raconté ?! :-)))

Il est 00h10 et je sors des salons de fête du 12ème arrondissement une soirée où quinze personnes se sont éparpillées dans une putain de grande et belle salle... vide censée recevoir 200 convives. Une soirée qui a pratiquement viré au fiasco total, les amateurs qui ont monté l'affaire s'y sont vraiment pris comme des manches. Ma maigre consolation : la petite des vestiaires était à tomber, mais je n'aurais pas pu la draguer. J'étais ailleurs...  Pourtant, c'était un peu mon genre de poulette. Bref. je sors et profite de la chaleur nocturne de ce dimanche à minuit du mat' :-) et me grouille un peu car pas envie de parler à la faune chelou parigote, arrivé devant la gare de Lyon. J'attends le Noctilien N16 qui m'amenera au N154 qui m'amènera à maisoon... je redécouvre Paname puis arrivé à gare Saint-Lazare. je monte non sans mal dans un autocar censé être un Noctilien mais l'intérieur est correct, classe même. je vais voyager tranquille. Donc, je monte et du regard, je balaie la populace qui comble le véhicule puis mes yeux de vicelard s'arrêntent net sur une paire de jambes (ou des cuisses) relevés sur la barre qui précède ou suit l'escalier de sortie du car. La blonde se rend t'elle compte que je mate son entrejambe et que je pourrais perce-voir sa culotte ou pire, s'i elle n'en a pas mis, le monde inconnu qu'elle n'offre qu'à son connard de mec assis en face. Elle assise avec une seconde blonde qui semble être sa soeur.  Les gens qui me suivent n'ont probablement pas eu le même réflexe que moi mais moi, si j'ai l'oeil qui traîne. Homme ou pas, je regarde l'entrejambe de la pétasse qui lève les jambes.

Le car, après vingt minutes de route se retrouve pas loin des Grésillons et j'entends de la bouche de pute de la soeur que la fille que je matais a la fâcheuse tendance de perdre ses petites culottes un peu partout. Gloups ! G préféré éluder la suite de la conversation. Les deux tasses parlaient beaucoup trop dans ma tête...